- NEXTHOPE RANARISON Tsilavo reconnaît par email du 24 avril 2012 que la société française EMERGENT a envoyé à CONNECTIC à Madagascar des équipements pour $1.361.121,68 et 297.032,93 euros
- L’envoi de 76 virements internationaux de CONNECTIC à EMERGENT sans contrepartie est le supposé élément matériel
- La contrepartie des 72 virements internationaux est l’envoi des équipements par EMERGENT à CONNECTIC
- Le juge d’instruction a connaissance de l’email de RANARISON Tsilavo qui reconnait la réception de matériels dès le 19 août 2015
- Conclusion : L’élément matériel de l’abus des biens sociaux n’est pas constitué
- Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle
Le premier élément constitutif d’un abus de biens sociaux est l’élément matériel qui est l’usage des biens ou des crédits de la société qui est une notion très large . Il peut s’agir de détournement par appropriation de fonds (Eva Joly et Caroline Joly-Baumgartner, « l’abus de biens sociaux à l’usage de la pratique », Economica (2002). Sans cet élément matériel, la plainte pour abus de biens sociaux n’est pas constituée.
L’acte reproché au prévenu sera souvent un acte de disposition, c’est-à-dire une « opération grave qui entame ou engage un patrimoine, pour le présent ou l’avenir, dans ses capitaux ou sa substance ». L’usage prendra ainsi, concrètement, souvent la forme d’une appropriation ou d’une dissipation des biens de la société.
NEXTHOPE RANARISON Tsilavo reconnaît par email du 24 avril 2012 que la société française EMERGENT a envoyé à CONNECTIC à Madagascar des équipements pour $1.361.121,68 et 297.032,93 euros
L’envoi de 76 virements internationaux de CONNECTIC à EMERGENT sans contrepartie est le supposé élément matériel
En criant haut et fort que la société CONNECTIC a effectué 72 virements internationaux à la société française EMERGENT d’un montant total de 3.663.933.565 Ariary, soit $ 480.488 et 958.941 euros, sans contrepartie, RANARISON Tsilavo essaie de rendre crédible son accusation qu’une infraction d’abus de biens sociaux est opérée par Solo, l’associé à 80 % de la la société CONNECTIC.
Solo par l’intermédiaire de la société EMERGENT est donc le destinataire des fonds.
Les ordres de virement pour les 72 opérations ont été toutes signées par RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE Madagascar depuis novembre 2012, car il est le seul signataire des comptes bancaires lorsqu’il était directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012.
La contrepartie des 72 virements internationaux est l’envoi des équipements par EMERGENT à CONNECTIC
Le gérant fondateur de NEXTHOPE Madagascar a reconnu par un email du 24 avril 2012, attesté par un huissier en France et à Madagascar que la société française EMERGENT de Solo a envoyé à Madagascar pour $1.361.121,68 et 297.032,93 euros d’équipements. Cet email a été produit au juge d’instruction le 19 août 2015 et lors du procès le 8 décembre 2015.
L’acrobatie intellectuelle de la Cour d’appel d’Antananarivo ne sert à rien car que cette preuve a été consignée par procès verbal dans le dossier de Solo et on a bien fait de boycotter cette Cour d’appel partial qui a rendu un arrêt malgré la demande de dessaisissement d’une Cour à une autre produite avant la procès en appel.
Le juge d’instruction a connaissance de l’email de RANARISON Tsilavo qui reconnait la réception de matériels dès le 19 août 2015
Et cet émail avec des pièces attachées a été bien transmis au juge d’instruction puisque les dire ont été consignés dans le procès verbal, traduit par un traducteur assermenté. Le tribunal ne peut pas donc ignorer que depuis le 19 août 2015, la contrepartie des virements ont été expliqués et ré-expliqués.
Q/: LA TOTALITE DES SOMMES DEBOURSEES PAR LA SOCIETE ONT-ELLES SERVI A L’ACHAT DES PRODUITS QUE VOUS AVEZ EVOQUES ?
Q/R : les sommes déboursées par la société ont servi à l’achat de ces produits,
Q/R : le plaignant est en connaissance de cause étant donné qu’il a envoyé par exemple un E-mail faisant état de son intention d’acheter des produits auprès de la société étrangère dont je dirige et dont les montants s’élèvent à 1.365.121,68 USD et 297.032,93 euros. C’est lui a établi le budget et a accepté ces montants.
Q/R : Une partie de ces montants a fait l’objet d’in règlement au bénéfice de ma société tandis qu’il reste encore une partie non payée.
F/ IREO VOLA REHETRA NAVOAKAN’NY ORINASA IREO VE DIA NIVIDIANANA IREO ENTANA REHETRA VOALAZANAO IREO ?
F/V: nividianana ireo ny vola navoaka tao amin’ny Orinasa
F/V: fantatry ny Mpitory izany satria ny 21 aprily 2012 ohatra dia nandefa e-mail milaza hividy entana amin’ny Orinasa vahiny izay ny tenako no mpitantana azy mitentina 1.365.121,68 USD sy 297.032,93 Euros.
Nekeny ireo teti-bola ireo ary izy no nanao io compte io.
F/V: ny ampahany amin’ireo vola ireo no voarotsaka ao amin’ny Orinasako ary mbola misy ampahany mbola tsy voaloha
Il y a donc bien une contrepartie des 72 virements internationaux envoyés par le CEO de NEXTHOPE dont RANARISON Tsilavo est le seul initiateur. En effet, il est le seul signataire des comptes bancaires de CONNECTIC. Un ordre de virement ne peut être initié sans son aval et de plus par le système d’intranet de la société CONNECTIC, il est au courant de tout ce qui se passe dans cette société.
Conclusion : L’élément matériel de l’abus des biens sociaux n’est pas constitué
L’élément matériel de l’abus des biens sociaux n’est pas constitué car il y a une contrepartie dont la preuve est l’email envoyé par le plaignant lui-même le 24 avril 2012.
La contrariété à l’intérêt social est établie lorsque l’exécution d’un contrat passé par le dirigeant au nom de la société se révèle lésionnaire pour celle-ci ou lorsqu’elle n’en retire aucune contrepartie.
Les 72 virements internationaux d’un montant global de 3.663.933.565 Ariary, soit $ 480.488 et 958.941 euros ont une contrepartie attestée par RANARISON Tsilavo par son email du 24 avril 2012, le montant des équipements reçus à Madagascar est de $1.361.121,68 et 297.032,93 euros .
Le système ERP fait maison et non à base d’ODOO de la société CONNECTIC est très bien paramétré que les dirigeants sont au courant en temps réel des agissements dans la société CONNECTIC. Tous les salariés envoient également un compte rendu quotidien de leur activité.
Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle
RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond
Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo
Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même
Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009
Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.
La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.
L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.
Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?
L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.
Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.
Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice
RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo